Aller au menu Aller au contenu

Jusqu’à présent, le FacLab se fondait dans des couloirs tous semblables, et bien malin celui qui, pénétrant pour la première fois dans les dédales de l’université à la recherche du précieux fablab, le trouvait du premier coup.
Il fallait donc que le FacLab sorte de l’anonymat visuel, et qu’il se dote d’une signalétique originale à la hauteur de la singularité du lieu.

 

Jeanne Sandjian, à son nouveau poste de fabmanageuse, s’est emparée de la demande et a créé dans l’entrée du FacLab une fresque ludique signalant le lieu.
Il faut croire que cela fonctionne puisque certains étudiants ignorants le lieu, poussent maintenant la porte, et découvrent avec jubilation son existence.

 

L’esthétique de cette fresque s’inspire du mouvement Memphis, à la demande de Jean-Baptiste.
Memphis est un mouvement de design et d’architecture italien initié à Milan dans les années 1980, qui déstabilisa d’emblée les codes du design post-Bauhaus en introduisant une gamme beaucoup plus large de couleurs, l’usage de motifs, et l’affirmation de formes libérées des usages. Le sens de l’humour, qui faisait défaut à l’époque dans le design, est aussi une de ses spécificités. L’un des fondateurs de ce mouvement, Ettore Sottsass, a marqué son temps avec la machine à écrire portative rouge, Valentine.

 

Les couleurs et les formes asymétriques des mobiliers Memphis ont trouvé leur prolongement sur les murs du FacLab, en une fresque qui raconte le lieu.
A vous d’y retrouver abeilles et imprimantes 3D, tasseaux et mécanimes…

retour à la liste des articles